L’édition 2012 est l’une des déclinaisons les plus intéressantes de l’éléphant en tête d’affiche de ce festival. Toujours dans l’esprit de venir genti- -ment faire trembler la porcelaine, – la dalle du parvis de La Défense – ,
il utilise cette fois certains codes du street art, ou de l’interven- -tion arty, un peu pop, ayant à l’esprit Keith Harring ou J-M Basquiat…
Il se sert, entre autres, d’une 5° couleur fluo pour venir « réveiller » les colonnes d’un ‘canard’ aux apparences de quotidiens routiniers…